Une nouvelle vague de courts métrages et documentaires aborde la vie des personnes LGBTQI+ en Azerbaïdjan. Ces films, souvent modestes, donnent voix à des réalisateurs locaux trans et non binaires et documentent violences et mémoire.
Photo de Zulfugar Karimov, Unsplash
Danielle Dieffenthaller, productrice et réalisatrice trinidadienne, est décédée à 60 ans. Connue pour la série "Westwood Park", son héritage inspire de nombreuses voix créatives.
Le film ‘Sabar Bonda’ offre un aperçu des vies queer en Inde rurale, abordant l'amour, la famille et l'appartenance de manière intimiste.
Le film ‘Hai Anis’ aborde le sujet du cyberharcèlement en Malaisie, amenant un dialogue essentiel sur ce problème.
Ce film aborde les barrières linguistiques et les questions LGBTQ+ dans le contexte des familles d'immigrants vietnamiens en République tchèque.
Khaled Khella réalisa des films qui montrent les luttes des jeunes en Égypte. Ses œuvres visent à donner une voix à ceux que la société ignore.
Tamara Finlay utilise l'animation en stop-motion pour explorer la mémoire et les liens culturels. Son travail est une lettre d'amour à son héritage ukrainien et à ses histoires familiales.
Lanre’ Obisesan est un cinéaste nigérian-américain qui utilise le cinéma pour explorer des thèmes de résilience et d'identité.
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